DENGEKI DAISY de Kyôsuke MOTOMI, publié chez Kaze Manga, collection Shôjo, 2010.Résumé :
" Quoi qu'il arrive, je te protégerai.
" Depuis la mort de son frère, l'unique parent qui lui restait. Teru vit seule, avec pour soutien moral, le téléphone portable que son frère lui a donné et sur lequel elle reçoit les mails d'un personnage mystérieux se faisant appeler " Daisy ". Un jour, pour une raison idiote, elle se retrouve à travailler au service de Kurosaki, le gardien du lycée aux allures de voyou mais ce vaurien n'aurait-il pas quelque chose à cacher à Teru ?. [source : KazeManga]
" Depuis la mort de son frère, l'unique parent qui lui restait. Teru vit seule, avec pour soutien moral, le téléphone portable que son frère lui a donné et sur lequel elle reçoit les mails d'un personnage mystérieux se faisant appeler " Daisy ". Un jour, pour une raison idiote, elle se retrouve à travailler au service de Kurosaki, le gardien du lycée aux allures de voyou mais ce vaurien n'aurait-il pas quelque chose à cacher à Teru ?. [source : KazeManga]
Ce que j'en pense :
Un shôjo d'un mangaka masculin, ça dépote, forcément.
Sous ses allures doucereuses, ce manga est bien entraînant. On tombe rarement dans des mièvreries shôjo-esques à la Oda Aya (Beauty, PlayBoy Café, Hakoniwa Angel...), et l'histoire n'en est pas moins romantique pour autant. Comme toujours, je souligne la différence.
La trame de fond est une belle et tragique histoire de famille, celle de la mort du frère de l'héroïne. Des personnes mal intentionnées s'interrogent sur l'héritage que la jeune Teru aurait reçu de ce dernier : alors qu'elle n'a pas d'argent, n'aurait-elle pas une copie du logiciel sur lequel son génie de frère travaillait ? Tels des vautours, ils rodent autour d'elle... mais "Daisy", mystérieux protecteur qu'elle contacte par mail, veille à sa protection.
J'ai apprécié le rythme (on se retrouve pris dans une véritable tornade), l'humour (parfois un peu cynique) et le style graphique (c'est qu'il sait tenir sa plume, le môssieur), contente de lire une fois de plus une histoire romantique un peu décalée.
Sous ses allures doucereuses, ce manga est bien entraînant. On tombe rarement dans des mièvreries shôjo-esques à la Oda Aya (Beauty, PlayBoy Café, Hakoniwa Angel...), et l'histoire n'en est pas moins romantique pour autant. Comme toujours, je souligne la différence.
La trame de fond est une belle et tragique histoire de famille, celle de la mort du frère de l'héroïne. Des personnes mal intentionnées s'interrogent sur l'héritage que la jeune Teru aurait reçu de ce dernier : alors qu'elle n'a pas d'argent, n'aurait-elle pas une copie du logiciel sur lequel son génie de frère travaillait ? Tels des vautours, ils rodent autour d'elle... mais "Daisy", mystérieux protecteur qu'elle contacte par mail, veille à sa protection.
J'ai apprécié le rythme (on se retrouve pris dans une véritable tornade), l'humour (parfois un peu cynique) et le style graphique (c'est qu'il sait tenir sa plume, le môssieur), contente de lire une fois de plus une histoire romantique un peu décalée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire